L’ancienne colonie de Malacca, Malaisie
Jeudi 6 Août
7h15 : Réveil, Antonin me dit que la gare routière est en fait juste à côté de notre hôtel et il va se renseigner pour le trajet vers Malacca (Melaka).
8h : Nous courons pour attraper le bus et nous voilà partis pour 2h30 de trajet ! La route est bonne, le bus très confortable et nous longeons de denses jungles, quelques bidons-villes et d’impressionnants villages tout neufs et à priori inhabités. Encore un contraste saisissant.
10h30 : Nous arrivons en ville, après avoir pris un autre bus depuis la gare jusqu’au Chinatown (à croire qu’il y en a dans toutes les villes). Celle-ci a l’air sympathique avec tous ses mélanges : en effet, hollandais, portugais, anglais, japonais et j’en passe se sont succédés ici, et le paysage et les bâtiments le montrent bien.
Une jolie fontaine en hommage à la reine Victoria côtoie une église chrétienne, tandis qu’une dizaine de pousse-pousse-vélos (je me comprends) fleuris et musicaux ventent leurs services.
Débute alors la visite d’une flopée de boutiques, temples et autres lieux insolites dont la liste serait trop longue à faire… Voici donc une sélection de photos pour illustrer notre journée :
15h : Nous déjeunons dans un restaurant traditionnel et nous brûlons le palais avec leurs plats typiquement épicés.
15h30 : Après avoir grimpé la colline centrale, nous découvrons les ruines d’un fort (en fait, une église) surplombant la ville.
15h45 : Pour palier à la chaleur étouffante, nous prenons l’air frais dans un centre commercial et revenons à la fontaine en quête d’un bus. Un pousse-pousse fan de Michael Jackson (et ça s’entend !) nous y aide, et nous voilà repartis pour Melaka Sentral.
17h : Une fois arrivés, nous prenons un autre bus pour rentrer à Kuala Lumpur afin, si possible, de foncer voir les lucioles (que nous n’avons pu voir la veille).
20h45 : Échec critique, aucun bus n’y va à cette heure et nous voilà dans un cybercafé.
21h20 : Comme Antonin a mal dormi à cause de la clim’ trop froide, nous partons en quête d’un autre hôtel.
Note supplémentaires :
Sur la gauche de mon carnet figure un portrait de moi, fait par une jeune habitante de Malacca. Les signes en bas sont la traduction phonétique de « Morgan » bien qu’elle ait prononcé plutôt « Monké-han ». Le tampon rouge du haut est la « bénédiction de Dieu » et celui du bas, le nom de la fille.
Retour à la catégorie
Laisser un commentaire