C’est parti pour le Vietnam !

Vendredi 7 Août

3h07 : Je me réveille…enfin, si l’on peut considérer que deux heures de sommeil est “dormir”, car l’hôtel où nous avons dormi donne sur une rue très animée. Chats miaulant, personnes criant, éboueurs, voitures bruyantes, klaxons… Bref, une superbe nuit sans climatisation, mais la femme de l’accueil était vraiment aimable.

 

Chambre d'hôtel en Malaisie

Notre chambre

 

4h : Nous partons pour la gare routière de Puduraya, à dix minutes de là. Nous galérons un moment avant de trouver le bon bus qui mène à l’aéroport, ce qui rend la douche que nous venons de prendre complètement inutile vu la chaleur et la course…

5h50 : L’aéroport KLCC se présente à nous, nous déposons nos sacs et prenons un gros petit déjeuner (chocolat immense, gaufres pour Antonin, sorte de mille-feuilles à la pomme pour moi et une glace du genre sunday). Quelque chose de typiquement malaisien, quoi !

 

Petit déjeuner dans l'aéroport

 

7h : Nous sommes à la bourre, nous courrons (encore !) pour ne pas manquer notre avion. Antonin réussit à faire passer un couteau au détecteur de métaux, tandis que ma simple boucle de ceinture me donne droit à une fouille. Dernier sprint et nous montons dans l’avion d’Air Asia, qui décolle 5 minutes plus tard.

8h30 (heure du Vietnam) : Nous arrivons, le temps est moins lourd grâce à une brise et quelques degrés de moins. Aucun moyen de contacter Pierre-Jean et Anne, les parents d’Antonin que nous devons rejoindre. Nous prenons donc un bus vers Saigon (maintenant appelée Hô-Chi-Minh-Ville).

 

Scooters au Vietnam

 

10h : Un taxi (arnaqueur, dans ce pays aussi) nous conduit au Metropole Hotel, très luxueux, avec piscine, salle de musculation… Nous retrouvons les parents d’Antonin et partons nous promener.

Cette ville est incroyable : des milliers et des milliers de deux-roues se frôlent, tandis que les voitures (surtout des taxis) semblent les éviter de quelques centimètres à peine.

 

Centaines de deux-roues

Attention au départ !

 

Les klaxons raisonnent sans arrêt en guise de musique. Ici aussi, de nombreux vendeurs de rue proposent des boissons, des noix de coco (achetées 25000 VND au lieu de 5000), et autres choses. Ils sont plus oppressants et insistants qu’en Malaisie et nous suivent même après plusieurs refus.

Un chauffeur de taxi-moto nous demande d’où nous sommes et s’exclame “Ooooh Zidane !” quand nous lui répondons : charmant !

 

Câbles électriques à Hô-Chi-Minh-Ville

Je plains les électriciens…

 

Les gens semblent vivre sur leur mobylette. Ils la conduisent, mangent et font la sieste dessus.

Nous traversons un marché, où les vendeuses de t-shirts t’attrapent et ne te lâchent pas, très coloré et diversifié (habits, souvenirs, nourriture, fruits de mer…) : le truc moitié touristique, moitié local en gros.

 

 

Marché à Saigon

 

Puis nous nous dirigeons vers le Palais de l’Indépendance après avoir déjeuné. Cet endroit a apparemment été le centre de conflits et a été deux fois bombardé. À présent, les ministres s’y réunissent. Un reportage présente “l’oncle Hô” comme le libérateur de Saigon.

 

Palais de l'indépendance

Palais de l’indépendance

Conseil des ministres

Pattes d'éléphant

Pattes d’éléphant

Intérieur du palais de l'indépendance

 

15-16h : Retour à l’hôtel où nous profitons de la piscine, d’un cocktail et de la salle de musculation.

18h45 : Nous avons rendez-vous avec quelques connaissances d’origine vietnamienne (une mère et son fils, ainsi que son oncle). Nous goûtons ainsi les spécialités locales grâce à l’aide de Nguyet (si ça s’écrit bien comme ça).

23h : Petite séance internet et dodo. Demain, nous sommes invités chez Nguyet à déjeuner… Grâce à ses conseils, nous espérons ne plus nous faire arnaquer par les marchands et les taxis. En attendant, la nuit s’annonce bien meilleure que les précédentes !!!

Note : Ici, les habitants se démarquent bien par leur identité (vêtement, formes du visage et teint), contrairement à Kuala Lumpur où il y a tellement de mélanges qu’il est difficile de savoir “ce qu’est un malaisien”. En revanche, ils parlent moins l’anglais qu’en Malaisie où tout était écrit en double. Il est donc plus dur de s’orienter car tout est en vietnamien…

Retour à la catégorie

Laisser un commentaire

À ne pas manquer !

Les World Nomad Games 2018 en vidéo, Kirghizistan

Tu veux suivre
mes aventures ?

Inscris-toi à la newsletter et tu seras prévenu
dès qu'un nouvel article est publié !

Ces données ne serviront qu'à t'envoyer la newsletter. Données personnelles

Les derniers articles